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Suisse : le dernier bastion que l’Europe rêve d’abattre

Au cœur d’une Europe en décomposition lente, un petit pays continue d’irriter les élites technocratiques. Son crime ? Avoir gardé un sens aigu de la liberté, de la souveraineté et du bon sens économique. Ce pays, c’est la Suisse. Et il dérange.

Pendant des décennies, le franc suisse fut adossé à l’or. Non comme un fétiche, mais comme un rempart contre la folie inflationniste et le vol légal de la monnaie par la dette. Même après l’abandon officiel de cette couverture, l’or reste profondément ancré dans la culture monétaire helvétique, symbole de solidité et d’indépendance. À l’inverse de la BCE, dont la mission implicite est désormais de monétiser l’incompétence budgétaire des États.

Mais la force de la Suisse ne s’arrête pas là. Elle repose sur un véritable fédéralisme, où la subsidiarité est réelle, pas incantatoire. Le citoyen a voix au chapitre, les décisions se prennent au plus proche du terrain, et le pouvoir central ne s’arroge pas le droit de dicter chaque aspect de la vie quotidienne. C’est tout l’inverse de l’Union européenne, cette pyramide bureaucratique où la norme écrase la réalité.

Autre différence fondamentale : la Suisse fonctionne avec des politiciens de milice. C’est-à-dire que beaucoup d’élus ne vivent pas de la politique, mais la vivent comme un service, à temps partiel. Loin des carriéristes professionnels de Bruxelles ou Paris, le conseiller suisse sait qu’il ne vaut pas plus que le paysan de son canton. Cela change tout.

Ajoutons-y une fiscalité modérée, un État mesuré, une neutralité historique, et nous avons là un modèle que d’aucuns qualifieraient de « rétrograde », tant il ne correspond plus aux canons globalistes du moment. Mais c’est justement parce qu’il fonctionne qu’il dérange. Car il prouve, par l’exemple, qu’un autre chemin est possible : celui de la responsabilité, de la liberté et de la souveraineté populaire.

Face à cela, les pressions s’intensifient. Bruxelles rêve d’arrimer la Suisse à son édifice technocratique : accords-cadres, exigences judiciaires, alignement réglementaire, tentations numériques… tout est bon pour faire plier le dernier bastion. L’UE, elle, avance masquée mais armée : pandémie, climat, sécurité, monnaie… chaque crise est une opportunité de plus pour étendre son empire.

Mais qu’on se le dise : la liberté ne se négocie pas. Vos traités en mode Covid-19 ne contamineront jamais nos âmes libres.

Conclusion?
Un avertissement à la technocratie mondialiste de Bruxelles:

La liberté ne se négocie pas. Vos traités en mode Covid-19 ne contamineront jamais nos âmes libres

Ludovic Malot, Entrepreneur & Economiste

Auteur du livre Le Suicide Monétaire aux éditions Maïa

La seule monnaie véritable et honnête est l’or physique!

S’émanciper de l’Euro pour conjurer la tyrannie

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